En route vers les J54 !




Intercartel du 21 Septembre – Hôtel Alamanda




Conférence de Virginie Leblanc-Roïc le vendredi 23 Août




Journées d’Études avec Virginie Leblanc-Roïc les 23 et 24 août à l’Alamanda

Nous vous informons que les prochaines journées de l’ACF à la Réunion se tiendront les vendredi 23 et samedi 24 août 2024, à l’Alamanda.

 

Nous travaillerons sous le titre  » Nouveaux symptômes? Nouveaux Fantasmes « , avec Virginie Leblanc-Roïc,  psychanalyste, membre de l’ECF et de l’AMP.

 

Vous trouverez en cliquant ICI le programme de ces journées et de la conférence.

 

Pour y participer, il est nécessaire de vous inscrire (même pour les inscrits à l’année), avec le lien weezevent ci-dessous : 

https://my.weezevent.com/journees-detudes-en-presence-de-virginie-leblanc-roic?

 

A très bientôt donc.




CIné-Débat avec Guy Briole sur le film Le Consentement




Conférence le 7 Juin de Guy Briole « Folie, Liberté, Violence »




Journées d’Études avec Guy Briole, Modalités fantasmatiques dans la psychose, les 7 et 8 Juin

Chers collègues,

Nous vous informons que les prochaines journées de l’ACF à la Réunion se tiendront les vendredi 7 et samedi 8 juin 2024, à l’Alamanda.

 

Nous travaillerons sous le titre  » Modalités fantasmatiques dans la psychose « , avec Guy Briole psychanalyste, membre de l’ECF et de l’AMP. Vous pouvez consulter le programme en cliquant ICI

 

Pour y participer, il est nécessaire de vous inscrire (même pour les inscrits à l’année), avec le lien weezevent ci-dessous : 

https://my.weezevent.com/journees-detudes-theorique-et-clinique-avec-guy-briole

N’hésitez pas à diffuser cette information autour de vous !

A très bientôt donc.




Atelier LATULU avec Marie-Hélène Brousse, le 22 Mai

Notre prochain atelier LATULU se tiendra le mercredi 22 mai de 20h à 22h, en visioconférence, sous le titre :

                                                                  « Peinture, poésie et acte psychanalytique »

Nous aurons le plaisir d’accueillir Marie-Hélène Brousse, psychanalyste à Paris, membre de l’ECF et de l’AMP, qui a accepté de se prêter à l’exercice de cet atelier en nous présentant sa lecture de la BD de Manara sur le Caravage.

Si ce thème vous inspire, n’hésitez pas à nous faire partager votre lecture d’un article, d’un livre ou d’un ouvrage de notre champ sur ce thème, sous la forme d’un texte court (une page maxi) et de  nous l’adresser à  : psychanalyse@acf-lareunion.fr.

Pour vous inscrire à cette soirée, il suffit de cliquez sur le lien weezevent suivant : https://my.weezevent.com/atelier-latulu-avec-marie-helene-brousse? et le lien zoom qui vous permettra de vous connecter le 22 mai vous sera transmis quelques jours avant.

Une participation aux frais de 10€ sera demandée aux non-inscrits à l’année (gratuit pour les inscrits à l’année). 

A vos plumes et claviers!




XXIe Congrès de la NLS : Clinique du Regard – 11 et 12 Mai, Dublin et en Visio

Argument de Daniel Roy 

La clinique du regard a une origine tout à fait humble dans notre champ. Sauf exceptions, qui seront à prendre en compte, elle n’a rien de spectaculaire. Elle est concomitante de l’entrée en analyse, au moment où, passant sur le divan, le patient, devenu analysant, ne peut plus se soutenir du regard de l’analyste, et où celui-ci se trouve hors du champ visuel de l’analysant. 

Une coupure – Un désir

C’est de ce moment-là que surgit le regard comme objet séparé, séparé de l’échange de la relation spéculaire.

C’est ainsi que l’objet regard naît du désir de Freud, au moment où il invente le dispositif analytique, et que, pour chaque analyse, le désir de l’analyste intervient pour créer ce champ où le regard peut s’isoler comme objet séparé.

C’est ainsi que l’objet regard naît d’une soustraction, et, plus radicalement, d’une coupure… lire la suite ici




Parution du Séminaire XV de Lacan : L’Acte Psychanalytique

Jacques Lacan

Le Séminaire, livre XV, L’acte psychanalytique (1967-1968)

Texte établi par Jacques-Alain Miller

Présentation :

Ce Séminaire marque un tournant. Il traite d’une question et d’une seule, à laquelle Lacan n’avait jusqu’alors répondu que de biais : qu’est-ce qu’un analyste ? Réponse : c’est un analysant (mot que Lacan substitue à celui d’analysé) qui a mené à son terme l’expérience analytique. Quel est ce terme idéal ? Pour le savoir, il convient d’articuler la logique du parcours d’une analyse. À son commencement, il y a un désir inédit, qui suppose un franchissement, c’est-à-dire un acte, à l’instar de César passant le Rubicon. Cet acte est celui de l’analysant, mais l’acte psychanalytique proprement dit, c’est le psychanalyste qui l’accomplit, en ouvrant à cet analysant le champ dit du « sujet supposé savoir » où se déchiffre l’inconscient. Au terme, le s.s.s. s’évanouit, tandis que l’analyste, son support, est évacué comme le déchet de l’opération, tel Œdipe finissant sa vie les yeux crevés. L’analysé devenu analyste prend son relais. Et pourquoi ? – alors qu’il sait maintenant ce qui l’attend.

Quelques leçons sont consacrées à la logique de la quantification, dont Lacan commence l’exploration, qui débouchera plus tard sur sa théorie de la sexuation.

La conclusion, inopinée, voit Lacan commenter à chaud les événements de Mai 68, contemporains de la fin du Séminaire.

Jacques-Alain Miller